Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/02/2020

Mythologie : autour d'Achille

Exposition TROIE au British Museum

 

IMG_1652.JPG

 

IMG_1654.JPG

Thétis trempe Achille dans le Styx

 

IMG_2098.jpeg

Le corps de Patrocle apporté devant Achille

 

IMG_2097.jpeg

Achille traîne le corps d'Hector

 

Photos Chantal Tanet et T.H.

 

 

02/02/2020

Une promenade dans un parc

IMG_2033.jpeg

IMG_2043.jpeg

IMG_2038 2.jpeg

IMG_2075.jpeg

IMG_2076.jpeg

 

14/01/2020

Paysages d'hiver, arbres et eaux

IMG_1973.JPG

 

IMG_1974.JPG

 

IMG_0021.JPG

 

DSC_0037.JPG

 

DSC_0038.JPG

 

                          © Photos Chantal Tanet et T. H.

 

 

23/12/2019

Max Ernst, Les Malheurs des immortels

max-ernst1964.jpg

                                L’heure de se taire

Près de la lèvre vue dans l’eau, la coquette défrisée promène la lampe dans ses yeux dodus comme des amours. Elle aime à montrer sa faculté de sourire à surface miroitante. Elle étend ses doigts peau d’amazone à la force des bras. Elle étend la mâture de ses seins au pied des ruines et s’endort au crépuscule de ses ongles rongés par des plantes grimpantes.

 

Max Ernst, Les Malheurs des immortels, dans Écritures, Gallimard, 1970, p. 120.

08/09/2019

Tympan et salle capitulaire, cathédrale d'Autun

DSC_0013.jpeg

DSC_0017.jpeg

DSC_0019.jpg

DSC_0021.jpg

DSC_0026.jpg

Photos Chantal Tanet

 

29/08/2019

Salle capitulaire, Cathédrale saint Lazare, Autun

DSC_0024.jpeg

DSC_0015.jpeg

DSC_0016.jpeg

DSC_0023.jpeg

Photos Chantal Tanet

20/08/2019

Chapiteaux de la cathédrale Saint-Lazare, Autun

DSC_0018.jpeg

DSC_0019.jpeg

DSC_0024.jpeg

DSC_0026.jpeg

DSC_0027.jpeg

chapiteaux de la cathédrale saint lazare,autun

Photos Chantal Tanet

29/07/2019

Jacques Borel, Un voyage ordinaire

       CAF86013870.jpeg

(…) Se trouver, se découvrit, on n’ose plus les employer, ces mots, ça fait sourire, si on en est loin de tout ça ! N’empêche… S’approcher, mettons, se rapprocher. Et voilà ce dont, toi, tu t’es approché. Rongé, pourrissant, le continent englouti que tu avais cru d’abord, quand il a enfin commencé à émerger, à t’apparaître, découvrir plein et rayonnant. Et quand cela serait… Tu accèdes plus tard à ce que les autres et toi-même ne peuvent désormais que rejeter. Raison de plus pour toi de te répéter le mot de Novalis que tu ne cesses, lancinant, obsédant, une espèce d’ordre, de plus en plus, qui se précise, d’entendre résonner en toi : « C’est à présent seulement que je commence à me connaître et à jouir de ce que je suis… c’est pourquoi justement je dois partir. »

— Seulement je ne jouis pas, moi, de ce que je suis. De cela aussi, empêché. Et quand bien même peut-être il n’y aurait pas le lieu d’où je reviens et dont je ne m’éloigne jamais que pour, honteux, accablé, y retourner.

 

Jacques Borel, Un voyage ordinaire, Le temps qu’il fait, 1993, p. 33-34.

24/07/2019

Promenade dans Vic-sur-Cère (Cantal)

IMG_1872.jpeg

IMG_1876.jpeg

IMG_1873.jpeg

IMG_1872 2.jpeg

IMG_1888.jpeg

02/07/2019

Une mésange curieuse

IMG_1366.JPG

IMG_1367.JPG

IMG_1368 (1).jpg

Photos Chantal Tanet, juin 2019

24/06/2019

Anne Parian, Les Granules bleus

       Anne-Parian.jpg

(…) un mammifère, aussi petit soit-il, peut toujours nous rappeler la mère qui peut-être nous allaita, et cela ne laisse que peu d’entre nous indifférents, particulièrement pas dans l’élaboration des moyens de l’occire. Contre la crainte d’un possible attachement, on préfère pour lui des moyens rapides, silencieux, aveugles ; empoisonnement, noyade, étouffement, quant à l’inverse on aurait mieux joui des effets de la cruauté par un engagement plus entier et plus incisif.

   Ainsi pour la souris, et différemment pour le rat plus gros, les moyens sont variés mais visent surtout à éviter la reproduction, car la mère est envahissante et peut potentiellement envahir et s’étendre et peupler sans limite le réduit même où nous ptétendions demeurer le plus tranquillement possible, aussi longtemps qu’il faudrait pour l’oublier, ne plus s’en tenir à ce qu’elle dirait, à la promesse qu’entre ce que l’on dit et ce que l’on fait, ce que l’on ferait, ce que l’on voudrait faire, ce que l’on pourrait faire, ce que l’on devrait faire, ce que l’on saurait faire, ce qu’il y aurait à faire, il y aurait un lien indéfectible. Ne plus tenir au lien entre dire et faire, entre ce que l’on voudrait dire, ce que l’on pourrait dire, ce que l’on saurait dire, ce que l’on aurait à dire, ce que l’on ferait dire, et ce que l’on ferait. Ce que l’on promet que l’on ne peut tenir, il n’y a pas d’autre moyen de le faire, je le sais.

 

Anne Parian, Les Granules bleux, P.O.L, 2019, p. 12-13.

19/06/2019

Dominique Buisset, Quadratures

              AVT_Dominique-Buisset_7175.jpeg

Petite quadrature avec divertissements

 

Savoir qui l’on veut qui l’on aime,

soi-même ou l’autre, un inconnu…

On happe l’air et ses appâts :

n’importe quel néant toussa

l’amour tendre commun qu’on eut.

J’ai manqué de nez en tout ça,

sur mes tempes l’aquilon sème,

et sa neige efface mes pas.

 

Dominique Buisset, Quadratures, NOUS,

2010, p. 39.

13/06/2019

Abbaye d'Arthous, pays d'Orthe

IMG_1822.jpeg

IMG_1838.jpeg

IMG_1837.jpeg

IMG_1834.jpeg

IMG_1836.jpeg

03/06/2019

Georges Braque, Le jour et la nuit

                      d08451e07a244658913e5b0e1644a9e2.jpg

C’est une erreur que d’enfermer l’inconscient dans un contour et de le situer aux confins de la raison. 

La charrue au repos se rouille et perd son sens usuel.

 Je n’ai jamais pu discerner d’un commencement d’une fin.

 Il faut toujours avoir deux idées, l’une pour détruire l’autre.

 Ceux qui s’appuient sur le passé pour prophétiser feignent d’ignorer que le passé n’est qu’une hypothèse.

 

Georges Braque, Le jour et la nuit, Gallimard, 1952, p. 19, 19, 20, 21, 22.

28/05/2019

Paysages, coquelicots et bleuets

DSC_0001.jpg

DSC_0019.jpg

DSC_0123.jpg

DSC_0006.jpg

DSC_0163.jpg