03/06/2019
Georges Braque, Le jour et la nuit
C’est une erreur que d’enfermer l’inconscient dans un contour et de le situer aux confins de la raison.
La charrue au repos se rouille et perd son sens usuel.
Je n’ai jamais pu discerner d’un commencement d’une fin.
Il faut toujours avoir deux idées, l’une pour détruire l’autre.
Ceux qui s’appuient sur le passé pour prophétiser feignent d’ignorer que le passé n’est qu’une hypothèse.
Georges Braque, Le jour et la nuit, Gallimard, 1952, p. 19, 19, 20, 21, 22.
Publié dans ANTHOLOGIE SANS FRONTIÈRES, MARGINALIA | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges braque, le jour et la nuit, maxime | Facebook |
Les commentaires sont fermés.