Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

07/09/2017

Esther Tellermann, Carnets à bruire

               Tellermann.jpeg

Ne m’effleurait

votre

incise     théâtre

de pierres     linges

recouvraient

     les paumes

j’induisais votre

     souffle

     à l’intérieur

de mes sillons

     je

respire

vos aurores de

papier comme si

l’ombre

         prenait

         feu

 

Esthet Tellermann, Carnets

à bruire, La lettre volée, 2014, p. 74.

Les commentaires sont fermés.