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26/05/2017

Louis-René des Forêts, Ostinato

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Souffrance, détresse, fureur dont il se délivre par le rire, et c’est ainsi qu’on le tient pour un garçon joyeux.

 

Un mot de trop met tout en péril.

 

Deux décennies pèsent moins que le trait fulgurant venu en une seconde frapper, déraciner, trancher au plus vif, mettre en pièces.

 

Louis-René des Forêts, Ostinato, Mercure de France, 1997, p. 27, 93, 147.

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