18/05/2017
Jacques Dupin, L'embrasure
Il y a quelque part pour un lecteur absent, mais impatiemment attendu, un texte sans signataire, d’où procède nécessairement l’accident de cet autre ou de celui-ci, dans le calme, dans l’obscurité, dans le dédoublement de la nuit écarlate, silence
trait pour trait superposable à ce qui, du futur sans visage, déborde le texte et dénude sa foisonnante et meurtrière illisibilité.
Jacques Dupin, L’embrasure, Gallimard, 1969, p. 89.
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