Esther Tellermann, Votre écorce
28/02/2024
Car je n’ai rien
une mèche
un cil
le plus ténu
fut votre
corps
la façon d’un
murmure où
je m’ensevelis
et m’attarde
et m’endors.
Nous étions si
frêles contre ce qui
soudain ne
craint plus
l’ombre.
Esther Tellermann,
Votre écorce, La Lettre volée,
2023, p. 88.
Les commentaires sont fermés.