Tag > votre écorce
Car je n’ai rien
une mèche
un cil
le plus ténu
fut votre
corps
la façon d’un
murmure où
je m’ensevelis
et m’attarde
et m’endors.
Nous étions si
frêles contre ce qui
soudain ne
craint plus
l’ombre.
Esther Tellermann,
Votre écorce , La Lettre volée,
2023, p. 88.
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Et je vous demandais
d’inventer des fables
jusqu’au tarissement
et la tiédeur
de retrouver les
lois ou l’incertitude
des secrets et des
détresses.
Peut-être j’avais
perdu
les horizons
et le motif
quand le ciel
s’interpose.
Esther Tellermann, Votre écorce...
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Et comment
épuiser la plainte ?
Fallait-il refaire
le dedans
nommer peut-être
contre la nuit
là où tu manques
refaire les...
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Vous arriviez
au bord de la saison
je ne savais pas
si le corps
s’interpose.
Nous refaisons
la sève
inventions...
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