esther tellermann, votre écorce, soudain, corps

Car je n’ai rien  une mèche             un cil  le plus ténu          fut votre  corps la façon d’un  murmure où  je m’ensevelis  et m’attarde          et m’endors. Nous étions si  frêles contre ce qui                 soudain ne  craint plus                 l’ombre.   Esther Tellermann,  Votre écorce , La Lettre volée, 2023, p. 88.

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