Nicolas de Staël, Lettres 1926-1955
13/11/2017
Paris, 1953
Toute ma vie j’ai eu besoin de penser peinture, de voir des tableaux, de faire de la peinture pour m’aider à vivre, me libérer de toutes les impressions, toutes les sensations, toutes les inquiétudes auxquelles je n’ai jamais trouvé d’autres issues que la peinture.
Nicolas de Staël, Lettres 1926-1955, Le bruit du temps, 2014, p. 362.
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