paul celan, renverse du souffle, écrit, parlé, nulle part

L’Écrit se creuse, le Parlé, vert marin, brûle dans les haies,   dans les noms liquéfiés les marsouins fusent,   dans le Nulle part éternisé, ici, dans la mémoire des cloches trop bruyantes à — mais où donc ?, qui, dans ce rectangle d’ombres, s’ébroue, qui sous lui scintille un peu, scintille, scintille ?   Paul Celan, Renverse du souffle , traduction Jean-Pierre Lefebvre, Seuil, 2011, p. 83.

Lire la suite 0