05/04/2017
Ariane Dreyfus, La bouche de quelqu'un
C’est ainsi Hasard légèrement fleuri, s’enracinant à peine, Je contemple le vent, je respire. Ne plus dire car personne, et même aucune image ensemble, que je donnais on visage à boire dans tes mains. Tu l’as renversé, et encore renversé. Même si je glisse Non je ne suis pas sur le rocher ! Je tire sur la corde, Pourquoi tiendrait-elle, tu l’as lâchée. Pas comme l’amour qui n’ôte pas ses mains. Des miennes je m’accroche aux mots appuyés. Enflure sans danse...