
Orné de toiles d’araignées, tanné comme un cuir, l’aïeul quitte les combles pour un grenier dont les lucarnes sans carreaux — quelques pelotes fraiches en témoignant — font encore le bonheur des chouettes. Pendant que la famille s’attarde parmi les malles, découvre un sabre, une giberne de mameluk, les rires d’enfant, dehors, dévalent une pente dont ils ignorent tout. Jean-Luc Sarré, Poèmes costumés avec attelages et bestiaire en surimpression ,...