Nicolas Pesquès, La face nord du Juliau, treize à quinze
25/10/2017
Le 2 août [2011]
Les fantômes n’ont pas besoin de se cacher, ils habitent toutes les collines. Il suffit de les lire, car ils viennent parfois dans des phrases exceptionnelles qui les libèrent. Souvent à notre insu, incrustation de chair dans le paysage. Chevreuil à dix pas. Perdrix mixte.
Le désir implante ses peut-être, où écrire s’ensource en continu.
Nicolas Pesquès, La face nord du Juliau, treize à seize, Flammarion, 2016, p. 121.
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