
Au milieu des prairies, chaque année, nous guettons le jour où fleurira le cerisier, nous ne doutons jamais de la surprise, de la fête augurale : il nous enseigne à maintenir, l’année entière, le regard qui ne flétrit pas l’arbre fidèle. Pierre Dhainaut, dans Isabelle Lévesque et D., La grande année , L’herbe qui tremble, 2018, p. 26. Ici, Aux Andelys L’ombre d’un cercle dépossédé glisse dans la nuit. Si léger. Ascension...