
Oraison vénitienne ( Ode on Venice ) Ô Venise ! Venise ! Quand tes murs de marbre Seront gagnés par les eaux, il y aura Un cri des nations devant tes salons engloutis, Une forte lamentation le long de la mer vorace ! Si moi, voyageur du nord, je pleure sur toi, Que devront faire tes fils ? tout sauf sangloter Et pourtant ils ne font que gémir dans leur sommeil. Par contraste avec leurs pères, Ils sont aux disparus ce que le limon, Ce que la vase verdâtre...