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   pour qui sent l’étrangeté de la vie l’étrangeté de l’existence et l’étrangeté même de l’amour (ou du rutabaga, du hareng-saur et de la libellule !) l’étrangeté d’être face au mystère de la lumière et du réveille-matin, de la loi des dieux et des hommes pour qui sent ainsi il n’y a pas d’étranger ni de coupures sur les lèvres juste la césure qui sert à embrasser à trop parler parfois, mais à se dire que non il n’y a pas d’étranger il n’y a pas d’étrangers   Jean-Claude Leroy, Un visage habituel , Rougerie,...

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