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               Ce qui de l’eau dérive          ces absences froissées          au confluent des vents          dans le pas des collines          en ces jours désertés   Ce qui dans la terre s’obstine          surgit    des feuilles mortes          auréoles déposées en stigmates d’argent dans l’humus du temps   Ce qui en ce jardin de meure là où l’enfant courait et dispersait ses joies l’empreinte de sa voix dans l’aubier des noyers   Ce qui résonne en toi            paroles d’un...

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