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       Un par deux   J’ai maintenant deux corps, le mien et le tien, miroir où se fait beau celui que je n’aimais pas. Qui ne me portait pas chance Des succès qui ne m’accordaient rien. L’amour que nous nous rendons nous a délivrés des rencontres, aussi des vertus inutiles.   André Frénaud, Il n’y a pas de paradis , Poésie/Gallimard, 1967, p. 50.

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