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                           L’adieu   Sans adieu tu m’as laissé et sans pleurs ;             dois-je m’en affliger . Tu ne pleurais pas parce que tu avais tant,             tant de baisers à me donner.   Certaines ententes amoureuses durent assurément              autant qu’une vie et davantage. Je connais un amour qui a duré un mois              et qui fut un amour véritable.   Umbero Saba, l Canzoniere , L’âge d’homme, 1988, p. 198.

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