Tag > traduction pierre alferi
Je tombe car j’aime Si conscientiser
une crête est tout est mon ordinaire,
ce qui tue chez soi. motus prédis comble
Les pins lient ce qui moi d’autres possibles
ne salit. Tiens ma chaque aile affranchie.
main debout. L’espace La mite est réglisse
explicite il donne je la sauve, souple
à se battre et perdre, enquête de langue
le « creux » me dévore
quand je...
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Il est bon de rappeler que "L’Ours Blanc", revue sans parution régulière (qui doit son nom à un vers de Valère Novarina), propose dans chaque livraison un seul texte, traduction (Charles Reznikoff, Jack Spicer, Russell Edson, etc.) ou non (Fabienne Raphoz, David Lespiau, Marie de Quatrebarbes, etc.). Le numéro 27 a paru en même temps que la traduction de Pound, Ombres blanches sur...
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