paul celan,poèmes,traduction andré du bouchet,écoute,vue,contrainte

          Débris d’écoute, débris de vue, dans le dortoir mille- et-un,   jours ou nuits, la polka-des-ours :   ici on te façonne à nouveau,   de nouveau tu deviens il.   Hörreste, Sehreste, im Schlafsaal eintausendundeins,   tagnächtlich die Bäten-Polka :   sie schulen dich um,   du wirst wieder er.   Paul Celan, Poèmes , traduction André du Bouchet, Clivages, 1978, np.

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