david bosc, l'incendie de l'alcazar, salariat, solitude

        que c’est en somme depuis le salariat que peu à peu il s’est perdu de vue et que pour finir il ne sait plus qui prend le train quand il prend le train et regarde filer le paysage   inchangée en revanche la terreur placide qui le laisse à la porte des autres gens impatient toujours de prendre congé en gardant, cela va sans dire sa propre porte verrouillée (mais c’est une maison de poupées il y manque le toit et l’un des quatre murs)   David Bosc, L’incendie de l’Alcazar ,...

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