
une semblable, longtemps après du ciel tombe la neige, désolation, là tombent tes effets en flocons, adoration, ils sont à terre dans le trou de ce vers là entre mes deux socquettes l’air se réchauffe, là mes trous de socquettes deviennent trop petits là je fonce tel un coq écorché vers un rêve où s’époumonne une poule : c’est mon ode d’antan ; mais son brio me semble là si minable, que le ciel s’abat sur moi en éclats de vers. Reinhard Priessnitz, 44 poèmes, poésie complète, traduction Alain Jadot,...