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Parfois je sens qu’un vent rapace veut m’emporter   loin de ces confins escarpés ravis aux bonds des chevreuils, aux vallons ourlés d’orages,   jusqu’ici, où un déséquilibre ou un trouble du regard fait exploser les nuances   des ombres tapageuses que j’ai oubliées dans les livres et sur les murs   tandis que le noir est ce noir où chaque nuit, dans un âge hors de saison, je m’habitue à disparaître.   Stefano Simoncelli, Frôlant les murs et les lumières , traduction...

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