13/09/2016
Malcolm Lowry, Réveil

Réveil L’homme ressemble à un homme qui se lève tard Contemple l’assiette sale de son dîner Aussi les bouteilles vides Toutes lampées dans les larges comment vas-tu d’une nuit Un verre pourtant contenant encore Un fond comme sinistre appât Combien l’Homme ressemble à celui-là Titubant parmi les arbres rouillés Allant chercher un déjeuner de pois de sardines Et de rhum éventé. Malcolm Lowry, traduction Jean Follain, dans Les Lettres Nouvelles ,...