
Me promenant dans Pertuis Je pense à mon père sans trop imaginer Aucun de ses gestes ni même son visage Les rues de la vieille ville s’en vont Sans qu’on sache trop où, Mais ça n’est jamais si loin, jusqu’à Par exemple un lavoir ou telle petite place de l’Ange Avec une belle fontaine vivante et d’anciennes façades Maisons du seizième siècle, naguère (on le voit sur une photo) Un grand orme poussait là, tout frôlant sans doute Les murs proches des maisons… On s’en revient toujours à une place un peu centrale Et qui...