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                            Qui tombe des pommiers O papillons de l’enfance Ne touchez pas à l’ombre des pétales Leur seule transparence Me sépare de l’ineffable Clarté Ne me conduisez pas Vers les fleuves d’été Que faire de tout l’éclat De juillet Quand c’est la douce la Douce éternité Qui traverse le jour Quand c’est l’amour Pommiers pommiers et roses O simples cerisiers Quand c’est l’amour qui pose À la ronde son pied   Anne Perrier, Poésie 1960-1986 , préface de Philippe...

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