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                                     Désordre, 3   Il en va souvent des itinéraires de la passion Comme de ces vents d’octobre qui fleurent la fougère Ils bercent en silence le sommeil de notre maison Et se retranchent dans les tranchées et les domaines du mystère   L’amour vient de la mer et y retourne Nous le savons ô fable Immortelle et complice À chaque amour suffit sa peine Lorsque les vagues auront effacé votre nom sur le sable Il m’a soudain semblé que toute plainte serait vaine   Quand viendra le moment précis de...

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