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une nudité peut-être sans doute une clarté sur l’encolure rouge des oiseaux mais cela n’explique pas la violence de l’air dans la nervure des langues les yeux ne sont plus des yeux le cœur n’est plus le cœur le corps d’une âme se dessine sous les paupières   Erwann Rougé, L’enclos du vent , photographies Magali Ballet, isabelle sauvage, 2017, p.20.

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