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ce fut un jour sans peur ni haine ma vie le cœur ailé vivant de restes de semaines au ciel mêlé   vivant — vivions-nous sans nul doute ni peine — au gré du vent c’était le temps où l’on redoute le mal présent   pourquoi au cours de ces tortures errantes lier tes pas alors que tombe l’ombre mûre autour de toi   Tristan Tzara, Phases , Poésie 49/Seghers, 1949, p.19.

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