29/12/2015
Stéphane Korvin, noise

la fin. longtemps la répéter, ne pas la retenir, avec les mains qui fabriquent ces jours-ci des pansements discrets. Je sais ce qu’il faut faire. s’accoter, être un cylindre, collecter la lumière, l’informité ne pas la répandre trop vite, les jours sont si longs, ils dorment dans la paume avec des idées de vertige comme tout le monde, l’épuisante matière, la fabrique aimer, nous tournons autour d’une impression ténue nos malléoles se heurtent, les voyages sont serrés, les chemins jouent à creuser et s’évaser, rien...