04/08/2016
Laurine Rousselet, nuit témoin

quelque chose ajoute à la piqûre une densité qui ressort de la douleur le chemin dans le rêve voiles claquements cruauté la limite en suspens la tête sur l’oreiller écrire creuse ce qui me reste de cœur fuir avec eux deux petits * le temps sur le cœur ravale la puissance cogne sur l’aspérité la ventre a volonté d’ébranlement derrière la tête rien n’est fixe à loin il y a l’immédiat accolé le trou l’odeur...