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                 Feinte Les franges du vent lancent leur fronde sous les herbages anciens, transperçant la cible sans entrave, captent le suaire des voix. Le sillage maudit de sable rêche, axe noirci, riposte, décoche les fanges nulles.   Sèche le souffle d’extase sur les langues impétueuses, au désert de similitude anéantie qui couve l’outrage béant des fleuves et des constellations.   Michel Leiris, Mots sans mémoire , Gallimard, 1970, p. 15.

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