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quand l’autrefois s’appelait encore le maintenant (ou jamais) il y avait de la verdure qui contrastait avec le ciel il y avait de la solitude et des tas d’autres endroits où pleurer rire jouer boire n’était pas indécent il y avait un peu de sang qui brillait au bord du ruisseau mais ce n’était qu’une fleur rouge et le vent la faisait frémir comme une ame de jeune fille   Jean-Claude Pirotte, Le promenoir magique et autres poèmes , La Table ronde, 2009, p. 383.

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