04/11/2017
Roger Giroux, L'arbre le temps

Nue, Frileusement venue, Devenue elle sans raison, ne sachant Quel simulacre de l’amour appeler en image (belle d’un doute inachevé vague après vague, et comme inadvenue aux lèvres), ici d’une autre qui n’est plus que sa feinte substance nommée Miroir, abusive nacelle, eau de pur silex. Roger Giroux, L’arbre le temps , Éric Pesty éditeur, 2016, p. 61.