25/05/2023
Lorand Gaspar, Gisements

Et plus insoutenable encore le bonheur Et le reproche cinglant du visage qui sait Indubitablement ce seul indubitable Celui qui nu Détaché comme une poutre d’un incendie Continue ce déplacement insensé et joyeux Sans ornements d’espoir Sans la moindre explication cohérente Ayant mis tout son calme Sa précision dans la folie. Lorand Gaspar, Gisements , Poésie/Flammarion, 1968, p. 62.