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                      VIII   Lors que je veis ces cheveux d’or dorer     Tant gentement cette vermeille glace     Et des ces yeux les traits de bonne grace,     Puis çà, puis là gayement s’esgarer : Lors que je veis un souriz, colorer     Et la douceur, & de pitié sa face,     Qui en leur beau toute beautez efface,     Je la cuiday au Soleil comparer. S’il fait que de toute chaleur suë, & fume,     D’ardeur, & pleurs ma Dame me consume ;     Si par tout luit, sa grande Sphere ronde, D’elle le nom s’estend...

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