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                   Parfois ça nous reprend ce drôle de sanglot tout bas qui nous secoue la cage. On n’y cède pas non ce serait déjà beaucoup trop beaucoup trop être soi-même. Ce serait beaucoup trop accepter d’écouter ce que nous dit la vie du vide tout autour. Alors alors… On ferme à double tour le corps sa tentative. On devrait lâcher prise on se crispe le mou !   Édith Azam, Le temps si long, Atelier de l’agneau, 2018, p. 46.                                    ...

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