16/06/2025
Cécile A. Holdban, Le Rêve de Dostoïevski

Nous avons tant écrit les pierres s’ouvrent, sans retour sur le chemin les voix des bêtes couvent, petits feux dans des lieux sans carte et les étoiles tissent l’espace hors de nous. Nous avons trop écrit peut-être les mots sont plus lourds que des pierres nous les lançons avec le fol espoir qu’ils deviennent flamme, éclair, oiseau. Cécile A. Holdban, Le Rêve de Dostoïevski , Arfuyen, 2025, p. 128.