18/10/2011
Jean-Baptiste Para, Le dit de l'oiseau

Le dit de l’oiseau Le soir promet une étrange abondance. Le soleil décret silencieux. Anges, rentrez chez vous, votre journée est faite. Je suis l’oiseau qui passe, mon bec est long comme la mort. * Aux troncs frais coupés, que disent les sèves ? Nous étions là pour le triomphe du matin. Une question se désolait entre les mains des meurtriers. * Ce qui reste de ciel, comment le supporter ? La marche longue des...