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                                       Marche I      ai couru, nu d’automne vers les maisons basses   avec la lourdeur du gravier et mes semelles de peau   Ce chemin vers rien de certain   qui se brise en bruissements rances pas même une ronce connue, ni le terme.   ai caché, donc mon visage en terre. apaisé à la douceur de la morte, son odeur     Et que faire du dédale de l’air ?   Il bombb le poumon, ne sait que le tournoiement.   Tendu au monde    ai louché vers le soleil là-bas, et...

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