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                     La soif   J'appelle l'éboulement (Dans sa clarté tu es nue) Et la dislocation du livre Parmi l'arrachement des pierres   Je dors pour que le sang qui manque à ton supplice, Lutte avec les aromes, les genêts, le torrent De ma montagne ennemie.   Je marche interminablement.   Je marche pour altérer quelque chose de pur, Cet oiseau aveugle à mon poing Ou ce trop clair visage entrevu À distance d'un jet de pierres.   J'écris pour enfouir mon or, Pour fermer...

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