paul verlaine, parallèlement, la dernière fête galante, sodome, gomorrhe

        La dernière fête galante   Pour ne bonne fois séparons-nous, Très chers messieurs et si belles mesdames. Assez comme cela d’épithalames, Et puis là, nos plaisirs furent trop doux.   Nul remords, nul regret vrai, nul désastre ! C’est effrayant ce que nous nous sentons D’affinités avecque les moutons Enrubannés du pire poétastre.   Nous fûmes trop ridicules un peu Avec nos airs de n’y toucher qu’à peine. Le Dieu d’amour veut qu’on ait de l’haleine , Il a raison ! Et c’est un jeune dieu  ...

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