
L’impôt sur les feignants Que l’on impose les très grandes richesses, Ceux qui possèdent des châteaux, des palais, Ceux dont la vie n’est faite que d’allégresse Sans nul souci, ne travaillant jamais, Que l’on impose les archi-millionnaires Mais qu’ désormais on laisse à l’ouvrier Intégralement l’argent de son salaire Pour qu’il n’y ait plus d’ misère à son foyer. Au lieu d’imposer l’ travailleur Qui gagne le pain de ses enfants Imposez plutôt les noceurs Qui gaspillent tant d’argent. Refrain : Oh, oui ! La...