07/07/2011
Keith Waldrop, Le vrai sujet

Trois fois Jacob de Lafon a essayé d’écrire ses mémoires, entreprise philosophique à ses yeux. Il n’est jamais allé au-delà de la première phrase. Dans la première version, on pouvait lire : Ainsi, je revins Dans la deuxième : Alors je revins Et dans la troisième : Je revins * Dans l’obscurité, Jacob de Lafon trouve que tout est simple. L’obscurité n’a pas de surfaces distrayantes, pas d’intérieur ni d’extérieur, pas de strates, rien...