
Le jour n’est plus Le jour n’est plus une belle eau grise (Elle est venue des montagnes du temps) Le bouvreuil noue et dénoue son cri Aux branchages morts de la lampe Un matin me visitait la voix Claire et levée des torrents de la joie C’était au lendemain l’été Quand le silence blanc l’ombre jetée Mais constellée aussitôt de myosotis Avec les mondes légers des cieux lisses (Elle n’était plus seule en profondeur) Une âme bleue veillait dans la hauteur Ô vie comme s’épuise la lumière Au coin...