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De notre malheur ne résoudra le mystère le chant du coucou   Jusqu’aux fleurs des champs butine le papillon aux ailes froissées   De la creuse cigale d’automne le cri sans voix s’élève en silence   Ne pouvant la couvrit elle fait tomber la lune l’averse d’hiver   Joyeusement gazouille l’alouette tire-lire-li   Bashô, Jours d’hiver , traduction René Sieffert, Presses orientalistes de France, 1987, p. 21, 25, 33, 37, 41.

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