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L’éraillure d’un coup de clairon dans le silence de l’office et la bonne empoigne sa jupe avant de franchir en deux bonds la volée de marches qui délivre de la monotonie des jours. Derrière la grille passe la fanfare, et les couleurs d’un amoureux dont les joues sollicitent les basses d’un tuba, scrupuleusement.   Jean-Luc Sarré, Poèmes costumés avec attelages  et bestiaire en surimpression , Farrago/Léo Scheer, 2003, p. 81.

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