09/05/2017
Jacques Izoard, La Patrie empaillée
Déjà nous attendons juin, et que les rixes craquent, ensoleillées comme tant d’autres appareils du corps : les yeux dans leurs loges, gloutons et sereins, les dents d’aix, les sûres traces de doigts sur la jambe, entre les cuisses bleues-belles, longues du feu tapi. Jacques Izoard, La Patrie empaillée , Grasset, 1973, p. 72.