Il fallait une connaissance approfondie de la poésie française et anglaise, une pratique solide des deux langues et, aussi, être poète (1) pour s’engager, après Pierre Leyris, dans la traduction du poème de T. S. Eliot, The Waste Land , réputé "difficile" depuis sa publication en 1922 (2) , pour ne pas dire "illisible". C’est justement ce qui retient Pierre Vinclair : puisque ce texte apparaît illisible, il se demande ce que l’on peut en faire : « L’illisibilité n’est-elle qu’un défaut de lisibilité, ou peut-elle ouvrir à d’autres pratiques, dont le jeu formerait une...
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18/05/2017
Jacques Dupin, L'embrasure
Il y a quelque part pour un lecteur absent, mais impatiemment attendu, un texte sans signataire, d’où procède nécessairement l’accident de cet autre ou de celui-ci, dans le calme, dans l’obscurité, dans le dédoublement de la nuit écarlate, silence trait pour trait...
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